Oliver stood, une étoile montante [Finish]

I. IDENTITY !
Nom : Stood
Prénom(s) : Oliver
Age : 18 ans
Date de naissance : le 19/02/1990
Lieu de naissance : Lyon, France.
Activité: Le chant, la danse.
Groupe : Stars of London

2. WHO ?

Caractère: Parce que le physique d’Oliver est assez tape à l’œil, son caractère est bien plus effacé. On pourrait presque dire que sa personnalité se scinde en deux si on la prend a deux moment différent de sa vie : lorsqu’elle est comme tout le monde et lorsqu’elle est sur scène.
Car Oliver est une fille plutôt effacée dans la réalité. C’est celle qui se tait lorsqu’on lui fait du mal et qui sourit en toute circonstance. Elle est d’un naturel calme et réservé et elle a du mal à aller vers les autres. Un brin de timidité venant s’ajouter à ça, elle n’a pourtant pas peur du reste du monde. Elle aime la foule et son confinement comme elle déteste les pièces vides. Il faut que l’espace soit combler sinon elle n’est pas rassurée.
C’est quelqu’un de plutôt prudent dans la vie de tous les jours car elle a l’imagination débordante et chaque film, chaque livre peut avoir un effet nocif sur elle.
Fragile et sensible, on prend soin d’elle comme on prendrait soin d’une fleur mourante.
Pourtant, lorsqu’elle monte sur scène, Oliver est quelqu’un de déjantée qui chante tout ce qu’elle a sur le cœur. Son publique, sa guitare et son micro, c’est toute sa vie ! Alors il faut combler les attentes des personnes qui vienne la voir et elle se donne à fond. La scène, c’est la promesse d’une autre vie, d’une autre jeunesse beaucoup plus fun pour elle. Pas besoin d’écouter papa et maman, de rester sagement assise à étudier. Non, la scène c’est le dépassement d’elle-même, l’oubli de la peur qui la hante un peu plus chaque jour, c’est vaincre les rumeurs qui disent qu’elle ne vivra plus très longtemps. La scène, c’est magique, c’est merveilleux… Pour Oliver, rien ne compte plus que les nombreux concert qui composent ses tournées. Elle aime aussi recevoir des cadeaux et des lettres de ses fans, même les méchantes, celles qui lui font voir qu’elle est détesté.
Car la scène, c’est le jardin secret d’Oliver. Elle ne se confie jamais à personne et ne parle pas d’elle. Ses parents ignorent qui elle est réellement.
Dédoublement de personnalité ? Schizophrénie ? Pas le moins du monde mes amis ! C’est juste la vision du monde d’une adolescente à la recherche d’elle-même… Et éprise de la liberté ainsi acquise…

Physique: A le physique. Si mère nature avait été plus clémente, elle lui aurait certainement donné une beauté moins tape à l’œil… Car lorsqu’elle se promène dans la rue, elle a beau vouloir se fondre dans la masse, elle est la première fille qu’on remarque. Déjà parce qu’elle est loin d’être petite du haut de son 1m75 et aussi parce qu’elle commence à être vraiment célèbre. Ces cheveux plutôt courts qui dansent sur ses épaules lorsqu’elle se déchaine…
Ces yeux si pâle qui oscillent entre le bleu, le gris, le vert et l’ivoire… Qui vous ensorcellent d’un seul regard, qui semble lire au plus profond de vous-même, ces yeux si mystérieux qui vous attirent dans un voyage dont vous n’avez pas envie de revenir… Cette immense océan de beauté aux méandres inconnu qui vous plonge dans une transe éveillée.
Ces courbes fines voilées dans des tenues moulantes pour la scènes et qui se laissent porter au gré de ses pas dans ses vêtements amples lorsqu’elle sort dehors en étant l’Oliver calme et sage de ses parents.
Cette peau pâle qu’on devine douce et délicate au toucher, sans la moindre imperfection si on enlève quelques boutons d’acné cachés par d’agile mèches de ces cheveux noirs comme la nuit.
Ce cou sans cesse dénudé qu’on aurait envie de mordre…
Ces mains fines aux doigts si long qu’ils semblent né des plus beau contes de fée. Il semble que leur caresse soit les plus douces que l’on puisse imaginer.
Et il y a ce que personne ne voit aussi. De magnifiques jambes toujours cachées dans des jupes longues ou dans ses tenues de scène moulantes. Ce tatouage en bas du dos représentant une longue liste de signe tribal qui finissent et commencent en épousant les formes de ses hanches… Cette licornes galopant sur son épaule, emblème de pureté et de liberté.

3. FAMiLY

Famille: Mathew Stood, décédé à l’âge de 45 ans, 2 years ago. Il était avocat au tribunal correctionnel de Londre. Il est mort dans un accident de la route avec sa femme et sa fille aînée.
Julian Stood, décédé à l’âge de 43 ans, 2 years ago. Elle était professeur d’art plastique au collège. Morte des suites de ses blessures à l’hôpital.
Joy Stood, décédée à l’âge de 20 ans, 2 years ago. Morte tout de suite après un choc frontal lors de l’accident.
Alan Stood, 15 ans aujourd’hui. Le seul avec Oliver à ne pas avoir été victime de l’accident. Il vit seul avec sa sœur ainé dans l’appartement de cette dernière.
Killian Stood, aujourd’hui âgée de 13 ans. Rescaper de l’accident, elle réapprend doucement à vivre. Elle a perdu la mémoire et son plus vieux souvenir remonte à une nuit d’hôpital, deux jours après l’accident.

Histoire: Vous l’aurez vu plus haut, Oliver est issu d’une famille nombreuse dont les prénom des enfants ont une consonance assez masculine alors qu’ils sont pour la plupart des filles. Seconde fille de cette famille de quatre enfant, Oliver n’a pas échappé à la règle mais son prénom ne lui a jamais posé de problème. Être calme et rêveur depuis sa plus tendre enfance elle s’est depuis toujours intéressée à la musique et au chant. Et si ses cours relevait du classique à l’époque où elle ne pouvait pas encore décider seule de sa vie, le destin qui lui était promis s’est mis à changer. Mais voyons plutôt ça en détaille dans ce qui suit…

Par une nuit brumeuse du mois de février 1990, une femme arriva en urgence à la clinique de la Croix Rousse, à Lyon, en France. Cette femme au fort accent anglais qui ne cessait de crier « Mathew » dans tous les sens disait se nommer Julian… Son deuxième enfant arrivait avec un mois et demi d’avance et les médecins prévoyait le pire.
On l’accepta tout d’urgence dans la salle d’accouchement et les portes se fermèrent au nez d’un jeune homme d’une trentaine d’année. Tout aussi en sueur que sa femme, Mathew Stood alla s’asseoir sur une chaise et attendit en priant le bon dieu que l’enfant soit en bonne santé et survive…

Tel fut la naissance catastrophique d’Oliver, fillette né précocement et placé immédiatement en couveuse sans avoir eu le temps d’apercevoir le visage de sa mère. Certains aurait immédiatement dit « pauvre enfant » et d’autres aurait ricaner en criant « ah, c’est pour ça qu’elle est si frêle ! » car depuis toujours les médecins la jugeait rachitique.

Mais revenons à nos moutons. Malgré un départ dans la vie plutôt mouvementé, la petite fille aux yeux pâles avait survécu sans montrer le signe d’une quelconque maladie ou d’une déformation congénitale pour le plus grand bonheur de ses parents. Elle était la seconde fille de la famille Stood et elle était promise à un avenir des plus brillant.
Dès lors que la fillette commença à grandir, dans le pays de ses parents qui aurait aussi dû être le sien, elle s’illustra dans toutes les matières par ses notes excellentes et par un vif intérêt pour tout ce qui touchait à la musique et au chant. Ravi de voir leur enfant si désireuse d’apprendre, ses parents l’inscrivirent à l’école de chant la plus proche et elle prit aussi quelques cours de piano, de violon et de guitare.
Evidemment, son enfance ne se résume pas qu’à ses quelques lignes mais ce sont les principales choses à savoir. Bien sûr, elle fut aussi ponctuée par les naissances de son frère Alan et de sa sœur Killian lorsqu’elle avait quatre et six ans. Avec toutes ces naissances, Oliver se demandait même comment sa mère faisait pour gérer son travail et la réponse était là : il possédait une nourrice et une gouvernante dans leur grand pavillon de Londres. Ainsi, ses parents avaient ils le temps de gérer leurs emplois et de s’occuper au minimum de leurs enfants.
Ainsi Oliver eut elle une enfance heureuse entourée d’amour et d’affection, de joie et de peine, de petits bobos mais aussi de grandes blessures. Souvent ailleurs, rêveuse à part entière, elle se mit très tôt à écrire des paroles sans queue ni tête dont la signification n’était connue que d’elle seule. Elle avait le talent, elle avait la passion, elle avait la voix, elle avait le physique et elle avait sa guitare… Elle ne pouvait pas passer inaperçu et à l’âge de douze ans un manager la remarqua. Il fut d’abord difficile de convaincre papa et maman de la laisser devenir une star et ils marchandèrent longtemps avant qu’Oliver ne puisse enfin commencer à chanter. Mais devenir une star à douze ans, ce n’est pas facile : on a encore une voix de gamine suraigüe, on a l’esprit rêveur sans connaître les choses de la vraie vie et on est innocent tout pleins.
Elle dut donc apprendre à modeler sa voix immédiatement pour la rendre plus mur et ainsi garder le même registre musical dans le futur. Et si au départ elle ne chantait que dans les cœur ou des comptines pour enfant, elle ne tarda pas à trouver ce qu’il lui fallait : le rock, la musique qui bouge et qui vous fait vibrer dès que vous entendez les premiers accords de la basse et ceux de la guitare électrique, cette ambiance lancé par les timbales de la basse et les touches personnelles du claviers venues enrichir ce son pur qu’était la musique rock. Oliver se souviendrait toute sa vie de ce jour merveilleux où elle avait entendu pour la première cet album magique des Pink Floyd résonner dans ses oreilles.

Bien sûr, mise à part le fait qu’elle était une star encore dans l’ombre, à cette époque Oliver allait au collège et elle avait des amis. Elle avait aussi beaucoup d’ennemi car c’était une tête de classe qui ne disait jamais rien à personne et qui ne se défendait pas quand on la frappait… Mais elle avait la volonté et le moral pour réussir et son manager ne tarda pas à lui trouver les personnes idéales pour jouer avec elle dans le groupe dont elle avait elle-même trouver le titre : The Black Raimbow, ou comment un arc-en-ciel sans couleur pouvait illuminer vos sombres heures…
Ainsi, Alex Steewart, Elisha Breack et Keran Leaf vinrent compléter le groupe et se lier d’amitié avec elle. Ils apprécièrent tout de suite sa personnalité enjouée et déjantée lorsqu’elle était sur scène ou aux répétitions des concerts. Elle était aussi une parolière douée bien qu’ils ne comprenaient pas toujours ce qu’elle voulait dire…
Le temps passait, les jours se succédaient sans se ressembler puis il y eut le drame.
L’accident.
Celui où elle perdit son père, sa mère, sa sœur aînée et où sa sœur cadette perdit la mémoire. Celui auquel son frère et elle avait réchappés en ayant refusé d’accompagner leurs parents faire de simples courses. Personne ne sait exactement comment cet accident fut provoquer et de cette époque Oliver ne retint que le décès de sa famille.
Elle en fit d’ailleurs un album intitulé « Sorry, I can’t go to Heaven with you » qui fit pleurer de nombreux fans à ses concerts. Elle avait tout de même vu sa mère décéder sous ses yeux et sa sœur cadette ne l’avait pas reconnu lorsqu’elle avait enfin rouvert les yeux.
C’était la dure réalité des choses, l’essence même de cette vie cruelle qui lui avait retiré les siens. Alors Oliver avait pris la résolution de se battre contre cette vie dure qui s’annonçait à elle. Elle avait entreprit de continuer l’éducation de son jeune frère et de payer la pension de sa jeune sœur dans un institut spécialisé où elle réapprenait à vivre.

Aujourd’hui, elle chante ses convictions et ses émotions à ses fans. Elle se fou de savoir que des stars sont tuées parce qu’elles sont stars. Elle veut vivre sa vie à fond même si elle est courte.
Avec son frère.
Avec son groupe.
Avec sa scène.


4. AND Y0U ?

Merci à toi. J'ai mis mon avatar et j'ai fini décrire mon histoire ^^

Merci ^^

Merci, ça fait plaisir ^^
Tu sais, tu faire l'hystérique et rester dans le topic ^^